Cela faisait bien longtemps que le cuistot du collège ne m'avait pas fait un tel gringue. Hier, devant la photocopieuse et la secrétaire, il n'a pas pu résister. Remarquant que je n'étais pas rasé, il a commencé par "ça te va bien, j'aime pas trop les garçons rasés de près". Ecrits, ces mots semblent presque innocents. Avec regard en coin et modulations de voix à l'appui, c'est une proposotion indécente.
Deux minutes plus tard, la converstion nous emmène sur notre degré d'éveil depuis le matin. J'étais dans le gaz (la veille nous avions promené un lave-linge dans la campagne picarde jusqu'à minuit et des poussières). Il était dans le gaz. Seconde touche "Et encore, on n'a pas passé la nuit ensemble. Qu'est-ce que ça aurait été!"
G.
Deux minutes plus tard, la converstion nous emmène sur notre degré d'éveil depuis le matin. J'étais dans le gaz (la veille nous avions promené un lave-linge dans la campagne picarde jusqu'à minuit et des poussières). Il était dans le gaz. Seconde touche "Et encore, on n'a pas passé la nuit ensemble. Qu'est-ce que ça aurait été!"
G.
2 commentaires:
R: lol mais comprend le, le pauvre (il est pas mal au moins?) c vrai que ça doi bien t'aller un début de barbe de 3 jours... ;)
Bah c'est un personnage ce cuisinier. Et même s'il n'est pas trop à mon goût physiquement, c'est assez flatteur, témoins ou non.
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