Le 12 novembre nous avons pris le chemin de Paris pour célébrer deux anniversaires dans ma famille. Nous passerons vite sur l'étape gare, stressante comme toujours : vous savez comment c'est, non? On croit être à l'avance, mais il y a foule et trois guichets ouverts, dont un monopolisé par des gens qui ne savent pas ce qu'ils veulent ou attendent l'heure de pointe pour se faire expliquer le fonctionnement d'une locomotive à vapeur ou le tarif d'un aller retard Paris-Vladivostock en août 2006. Passons aussi la sympathique et néanmoins musclée interpellation d'un homme par 6 policiers, en ces temps troublés de guérilla urbaine, ou encore le train pris d'extrême justesse (pas d'hyperbole ici). L'essentiel est ailleurs...
Arrivés à Paris, du coup, l'adrénaline n'est pas retombée. On se croit pressé, on ne l'est pas du tout. Nous sommes au point de ralliement, quai Malaquais, une demi-heure à l'avance. Le temps pour nous de flâner sur le Pont des Arts, avec une pensée émue pour Carrie Bradshaw, d'intercepter le regard de deux ou trois jolis garçons, d'en voir deux autres se bécoter en bord de Seine, et de se retrouver un moment seuls au centre de la Cour Carrée du Louvre à l'éclairage rasant et holographique... Paris sera toujours Paris. Et c'est en dînant sur la Seine que nous avons eu le loisir de le vérifier.
Mon frère qui, pour ses trente ans, a décidé d'en avoir 28 (l'an prochain, nous aurons le même âge), a semblé apprécier sa boîte de playmobils - le viking et le dragon, avec en prime un chevalier, les connoisseurs apprécieront - , son épouse un peu moins. Réveil à 7 heures pour ne pas manquer le train (évidemment, cette fois-ci, on arrive trois quarts d'heure en avance), tandis que notre petite nièce gazouille mignardement dans la chambre voisine...
Arrivés à Paris, du coup, l'adrénaline n'est pas retombée. On se croit pressé, on ne l'est pas du tout. Nous sommes au point de ralliement, quai Malaquais, une demi-heure à l'avance. Le temps pour nous de flâner sur le Pont des Arts, avec une pensée émue pour Carrie Bradshaw, d'intercepter le regard de deux ou trois jolis garçons, d'en voir deux autres se bécoter en bord de Seine, et de se retrouver un moment seuls au centre de la Cour Carrée du Louvre à l'éclairage rasant et holographique... Paris sera toujours Paris. Et c'est en dînant sur la Seine que nous avons eu le loisir de le vérifier.
Mon frère qui, pour ses trente ans, a décidé d'en avoir 28 (l'an prochain, nous aurons le même âge), a semblé apprécier sa boîte de playmobils - le viking et le dragon, avec en prime un chevalier, les connoisseurs apprécieront - , son épouse un peu moins. Réveil à 7 heures pour ne pas manquer le train (évidemment, cette fois-ci, on arrive trois quarts d'heure en avance), tandis que notre petite nièce gazouille mignardement dans la chambre voisine...
3 commentaires:
R: L'aller-retard à paris c tjrs sympa, et si en plus tu offre une boite de playmobil et que tu mange en bord de seine et ba tout de suite Paris en devien plus merveilleux!
les pitoux sur les traces de Carrie Bradshaw... vous deviez être trés "Glam" alors ?...
Hélas, pas de nuit au Plazza Athénée... Quelle déconvenue!
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