Stupéfaction. Le petit mot gravé sur une table (celui-là) n'était que la face visible de l'iceberg. Hier, j'ai découvert une explosion d'insultes à mon envers sur une table et le mur concomittant. C'était fleuri mais pas très original, avec un certain souci de variété mais pas de l'orthographe. L'objet n'est pas ici de les reproduire, pas de faire part de cet étrange sentiment de viol et d'humiliation mais de m'interroger. Je sais qu'ailleurs, c'est une pratique commune. Pas de couteau, pas de crachat en pleine face, pas de menace... De quoi je me plains?
C'est vraiment déroutant d'être victime d'un tel déchainement sans avoir l'impression d'avoir fait quoi que ce soit susceptible de l'expliquer. Le plus insidieux est que ça instille le doute. On aura beau dire que certains de ces gosses ne sont pas doués pour l'école, ils le seront tous et toujours pour trouver les failles. La perversité a de beaux jours devant elle, cette noble institution qu'est l'école est une féconde pépinière.
G
C'est vraiment déroutant d'être victime d'un tel déchainement sans avoir l'impression d'avoir fait quoi que ce soit susceptible de l'expliquer. Le plus insidieux est que ça instille le doute. On aura beau dire que certains de ces gosses ne sont pas doués pour l'école, ils le seront tous et toujours pour trouver les failles. La perversité a de beaux jours devant elle, cette noble institution qu'est l'école est une féconde pépinière.
G
2 commentaires:
po po po po!
faites comme Massu!!
Un jour que de Gaulle, en le regardant bien en face, lui dit : "alors Massu, toujours con?"
Massu répond, sans broncher "Toujours gaulliste, mon général"...
Alors, G..., toujours prof??
voir épilogue...
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