27 septembre, 2006

Vases communiquants

Hier, dès la sonnerie annonçant la fin de la récréation, je quitte le premier la salle des profs pour aller chercher mes élèves, élèves qui ont l’air bien surpris de me voir. « Euh… on a espagnol ! » Hein ? Quoi ? Qu’est-ce ? Zut… Au temps pour moi, j’ai une heure de creux. « Faut arrêter l’alccol, m’sieur ! ».

Ce matin, une collègue pensant avoir une demi-heure d’avance arrive comme une fleur avec une demi-heure de retard.
« - Vous avez eu un problème ?
- Pourquoi ? On vous a dit que j’avais un problème ? »
Au temps pour elle… Quand l’un est trop pressé que ça finisse, l’autre ne se hâte pas de commencer. L’équilibre est sauf.

G.

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