13 octobre, 2005

Apophtegme

Rien n'est plus douloureux que l'oubli.

4 commentaires:

Les Pitous a dit…

Hé? Mais moi je ne t'oublie pas!!
Tu vas pas t'en tirer comme ça petit grogodile!

Leo

Anonyme a dit…

Tout dépend de quel côté on se situe ... si on est oublié ou si l'on oublie ... car parfois de cette dernière solution dépend notre survie ...

Les Pitous a dit…

Je dirais que les deux me terrifient également...

Guillaume

Anonyme a dit…

N'en sommes-nous pas tous là par moments ? Si bien calés dans notre égocentrisme, si peu confiant en l'affection des nôtres, creusant nous-mêmes le trou de l'oubli, érigeant plus haut les murs du silence afin de bien nous assurer que nous soyons si injustement oubliés...