Histoire vraie dans les couloirs d'un hôpital, anecdote certifiée garantie par ma maman, protagoniste de l'histoire.
Un homme doit effectuer la livraison d'un matériel lourd et encombrant. Il parcourt les couloirs à la recherche d'aide. Voyant ma mère, il lui expose le motif de sa recherche : "Je cherche un homme". La formule frappe ma mère qui ne résiste pas au plaisir d'une allusion philosophique. En souriant, elle lance : " On va vous trouver ça, Diogène! ". Evidemment, le brave homme ne comprend ni la référence, ni l'air hilare de ma mère. Devinerez-vous ce qu'il lui a dit ensuite ? " Pouvez-vous éclairer ma lanterne?"
Bon, cela ne fera sourire pas grand monde, mais plusieurs années après, j'en ris encore. Pourquoi diable ce souvenir rejaillit-il maintenant? Etrange mécanisme que la mémoire...
Guillaume
Un homme doit effectuer la livraison d'un matériel lourd et encombrant. Il parcourt les couloirs à la recherche d'aide. Voyant ma mère, il lui expose le motif de sa recherche : "Je cherche un homme". La formule frappe ma mère qui ne résiste pas au plaisir d'une allusion philosophique. En souriant, elle lance : " On va vous trouver ça, Diogène! ". Evidemment, le brave homme ne comprend ni la référence, ni l'air hilare de ma mère. Devinerez-vous ce qu'il lui a dit ensuite ? " Pouvez-vous éclairer ma lanterne?"
Bon, cela ne fera sourire pas grand monde, mais plusieurs années après, j'en ris encore. Pourquoi diable ce souvenir rejaillit-il maintenant? Etrange mécanisme que la mémoire...
Guillaume
1 commentaire:
Éclairer votre lanterne, mon cher Guillaume ? J'ai l'impression qu'en digne fils de votre mère vous êtes plutôt auto-éclairé et que, à sa suite, l'histoire ou la philosophie viennent instantanément à la rescousse dans toute situation. Ce n'est donc pas à vous que l'on fera prendre des vessies pour des lanternes... Quant à faire de l'ombre à Diogène lui-même, je n'oserais pas pas affirmer que ce ne sera pas le cas. Mais si jamais vous lui cachiez le soleil, il n'aurait qu'à s'acheter un lampadaire halogène...
Quand au Diogène improvisé dans les couloirs de l'hôpital, puisque de toute évidence il avait laissé sa lanterne à la maison, il a dû marquer la surprise en voulant reprendre le dessus sur la nana qui le narguait et, en bon mâle de son espèce, il a sans doute répondu quelque chose du genre : « Putain ! je ne savais pas qu'à l'hôpital, vous pouviez greffer une paire de couilles à une nana ! »
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