Faire des cartons, c'est plutôt rébarbatif. Il y a toujours une montagne de bidules dont on ne sait que faire. Alors il faut jeter, et ça, c'est un crève-coeur pour moi qui ai si peur de perdre.
Mais se pencher sur les objets accumulés, ça offre aussi des oasis de rêverie : on retrouve de minuscules parcelles de notre histoire, un rêve griffonné au milieu de la nuit, une photo volée, une lettre oubliée... En triant le bon grain de l'ivraie, j'ai ainsi mis la main sur ce petit trésor que j'avais mis de côté pour ce blog et laissé dans sa cachette :
Mais se pencher sur les objets accumulés, ça offre aussi des oasis de rêverie : on retrouve de minuscules parcelles de notre histoire, un rêve griffonné au milieu de la nuit, une photo volée, une lettre oubliée... En triant le bon grain de l'ivraie, j'ai ainsi mis la main sur ce petit trésor que j'avais mis de côté pour ce blog et laissé dans sa cachette :
3 commentaires:
Tiens, c'est rigolo, en écrivant l'article, je n'avais pas vu que "La cahette" était le nom de la salle de spectacle...
Et l'auteur s'appelle i-Date : en avance sur son temps, celui-là...
Vous avez l'esprit d'à-propos, les garçons.
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