J'aurais aimé pouvoir écrire que si je n'ai pas posté depuis deux jours, c'est que je vis des choses passionnantes. La vérité, c'est que je n'arrête pas de roupiller. J'en ai eu ma claque de me contenter de répéter "y a plus de saisons" en constatant les averses qui nous inondent quotidiennement. Alors j'ai décidé de le prouver par mes actes : j'ai testé pour vous la laryngite en plein juillet.
Un soir, au dîner, la luette vous gratouille un peu. Vous vous dites : "tiens, je vais avoir un petit mal de gorge". Et vous vous réveillez avec une voix
Se traîner toute la journée un virus des neiges au coeur de l'été, c'est un acte civique : n'a-t-on pas inventé les vacances scolaires pour permettre aux profs d'être malades sans gréver le trou de la Sécu? Oui, je suis devenu sark*zyste, et alors! (non, je déconne, c'est l'aspégic qui me monte à la tête!)
Et dites-vous bien que si l'angine ne m'avait pas laminé, je crois que l'aînée de nos nièces s'en serait chargée.
G.
P.S. : Votre avis nous intéresse! Nous n'avons toujours pas fait notre choix pour le titre du successeur de Quaidesomme. Vous pouvez toujours voter dans l'encart de la colonne de gauche, mais un commentaire posté ici nous sera encore plus précieux. Merci à tous ceux qui nous ont déjà laissé leur avis!
8 commentaires:
Moi aussi j'ai réussi à m'enrhumer alors que j'ai traversé l'hiver comme une fleur. Grrrr ... ce temps qui ressemble à rien ...
C'est rien, mon Pitou, juste une petite guerre de trachée : dans votre région, c'est normal.
(Personnellement, j'envisage de tester l'insolation, en février prochain. Pour voir...)
Un rupe faut bas ricoler avec ça. N'ouplie bas ton bouchoir et bet ta bain devant ta bouche quand du dousses.
Je t'ai bis plein de titres absolubent bagnifiques bour don futur blog. Bouche ton nez ! t'as pris tes bédicabents ?
Mes sympathie et mes voeux de prompt rétablissement.
Moi aussi, c'est souvent l'été que je prends un rhume... pas vraiment encore cet été, heureusement ; mais il y a des jours où je sens qu'il faudrait peu de chose...
C'est bien de mettre ainsi vos nièces en commun ; comme ça le frère ou la soeur ne saura pas que c'est de sa fille dont vous parlez ;o)
A propos de ce que relève Alcib, si vous mettez vos nièces en commun un week-end où l'Irremplaçable n'est pas là, je veux bien faire le déplacement...
(Enfin, ça dépend quand même un peu de leur âge, hein ! Et, vu le vôtre, j'ai l'impression que ça va pas l'faire...)
C'est gentil de la part de Didier Goux d'offrir ses services pour garder les enfants ; la crèche va perdre des clients ;o)
@ Vincent : j'ai bien peur, pour ma part, que ça ne soit pas qu'un rhume. Ce qui est génial, c'est que depuis cinq jours que ça traîne, chaque matin me réserve une nouvelle surprise!
@ Didier : la guerre de trachée, j'y avais pensé. J'ai renoncé à filer la métaphore. L'insolation en février est parfaitement jouable, si tu veux mon avis de navet. Quant à nos nièces, je doute qu'elles n'affolent ta testostérone : deux ans et demi pour la plus âgée, et cinq mois pour celle qui sourit tout le temps... Si tu veux les garder, tu soulagerais leurs parents. Mais je ne suis pas sûr qu'ils soient OK!
@ Larkéo : B'en parle pas. Impossible de boucher bon nez bouché!
@ Alcib : en fait, ce ne sont techniquement que mes nièces, mais je partage tout avec mon homme (sauf ce fichu virus qui semble n'en avoir qu'à ma peau). Ce sont les filles de mon frère - celui de Vincent étant encore au lycée, ça ferait encore un peu tôt (enfin, en Normandie; les critères de la paternité picarde sont moins draconiens)
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