11 novembre, 2006

Plexus lunaire

Parmi les mille mains levées, votre serviteur en sélectionne une.

Moi : "Bon, Prudence, tu nous lis la deuxième phrase? (là, Prudence essaie de commencer mais...)

Têtaclac : Toujours des filles, hein!

Tronch'dequèq : Ouais, Monsieur, il aime bien les filles! (c'est pas possible, il vit sur Mars, lui?)

Moi : Euh... ça vous ennuie pas trop si on écoute Prudence?

Têtaclac : Moi, je disais ça comme ça, c'est tout, hein!

Moi : T'es sûr que tu veux pas te la boucler? (ouais, quand ma patience s'use, mon langage se relâche, je sais, ça le fait moyen)

Rigoletto : Ouais! Comme ça, Monsieur, il aimera p'tet aussi les garçons!

Tronch'dequèq : Il aime pas les garçons, Monsieur, quand même... (appréciez le "quand même" lourd de sous-entendus)

Moi (penché en avant le corps à 90° comme une cantatrice extrayant son tout dernier souffle) : Mais qu'est-ce qu'on s'en fouuuuuuuuuuuuuut!!!".

Et là, jarnidieu!, je vous jure que j'ai failli être encore plus vulgaire. Et pas pour faire cool, hein! Juste pour lutter contre la tentation d'enfoncer le crâne de l'un dans le plexus lunaire de l'autre! (si si, ça existe : en plein centre de votre fondement!)

G.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Plexus lunaire... :-)))

Anonyme a dit…

Ou comment tronch'dequèq devient Tronch'danleuq, et Têtaclac devient Tuladanl'

J'adore ta façon de créer des surnoms :-)))

Les Pitous a dit…

Tu sais, Patate, il suffit de vivre avec eux, de les supporter au quotidien, et le surnom surgit de lui-même ;)