09 octobre, 2005

Pas de pitié pour les croissants.

Il y a des circonstances où l'on préférerait qu'il ne ramène pas les croissants le dimanche matin.


Leo

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Si le « il » remplace « le chien », je trouve aussi souhaitable qu'« ll ne ramène pas les croissants » comme il rapporterait le journal... Mais autrement, pourquoi le compagnon ne ramènerait-il pas les croissants ? Peut-être de la brioche, pour le dimanche, alors ? (En ce qui me concerne, le matin, c'est plutôt pain grillé, fromage, tomate, ail, huile d'olive, basilic et thé noir très fort).
Mais l'hitoire de croissants aurait-il un lien avec les vertus du mensonge ? On peut se poser la question...

Anonyme a dit…

En fait, ce qui peut être embêtant, c'est que celui qui rapporte les croissants n'ait pas dormi et que les croissants soient surtout pour celui qui aurait dormi... Dans ce cas, un gros bouquet de fleurs rares ne serait-il pas plus approprié ? ;o)
Bien entendu, je crois qu'il s'agit ici de situations tout à fait hypothétiques, le but étant de faire fonctionner les neurones et d'alimenter les esprits plutôt que les estomacs...

Les Pitous a dit…

De toute façon les croissants, c'est peu digeste et surtout mauvais pour ce que j'ai!

Leo